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C’est en me penchant sur Netflix, il y a quelque temps, que j’ai découvert « Victoria » de Sébastian Schipper. Un thriller avec un parti pris hasardeux, un plan séquence, et une montagne russe d’émotions. Difficile de ne pas être tenu en haleine du début jusqu’à la fin.
L’histoire en une seule prise
Victoria a réveillé mes sens et a complètement capté mon attention pendant la durée du long métrage. On est propulsé directement dans le vif du sujet, Victoria est une jeune femme pétillante, belle qui danse aux rythmes des « beats », elle respire la jeunesse, l’insouciance, la fraicheur, elle est belle. Sur les « beats » assez froids de ”Burn with Me“, de Dj Koze, nous voila retranchés dans le cœur underground berlinois. Dès le commencement, on est avec elle tandis qu’elle se prépare à avaler un dernier verre, et à récupérer son petit manteau.
Victoria, c’est une petite espagnole qui vient de débarquer dans cette ville sans limites. « Victoria, c’est peut-être toi comme moi », découvrant la ville, fascinée et à la fois perdue. Dans sa peau, tant la caméra l’effleure, on ressent ce sentiment de « homesick », elle ne parle pas la langue, elle observe autour d’elle et sait qu’elle n’appartient pas à ce monde-là.
capture d’écran du film Victoria de Sebastian Schipper montrant Victoria et Boxer
Elle sort de ce club et les emmerdes commencent. Les emmerdes, c’est d’abord l’attrait incommensurable pour le jeune Sonne et son groupe d’amis. C’est ensuite la décision de les suivre… Les emmerdes ce sont ceux qu’il y a au fond d’elle. Elle est seule, a besoin d’une épaule sur laquelle elle puisse reposer sa tête et ses problèmes.
Seulement voilà, « Victoria » c’est aussi la définition même de la femme enfant, celle qui veut vivre à cent à l’heure, celle qui veut crier sur les toits berlinois, celle qui veut danser toute la nuit, celle qui part travailler trois après. Victoria, c’est la jeunesse d’aujourd’hui. La jeunesse qui pousse ses limites encore plus loin. On vit chaque instant avec elle, on lui tient la main, on la comprend, parfois, on ne la comprend pas, on l’aime, on la déteste.
La caméra est son ombre, elle ne s’arrête jamais. Elle s’amuse avec elle, la suit, la traque jusqu’à la fin dès deux heures et vingt minutes de film. Le choix technique de la réalisation nous renvoie au destin des protagonistes. Ce plan séquence renvoie à une vie, une fatalité, a une décision.
Entre chanson, rap et sérénades, le nouvel album de l’ovni Cutter dévoilé le 4 juin 2021 observe l’erreur humaine et embelllit les échecs de la vie.
Cutter crée un univers où textes et productions baignent dans une poésie explicite. En constant clash contre lui-même, tranchant ou plein de sensibilité lorsqu’il observe l’erreur humaine,
Cutter dépeint amours et emmerdes, de sa voix grave qui se brise lorsqu’il chantonne. En solo ou avec ses différents groupes, Cutter a déjà partagé des plateaux avec Oxmo Puccino, Hippocampe Fou, Dooz Kawa, Casey, Lord Esperanza…
MERDER EN BEAUTÉ
C’est le single Disparition, premier extrait de l’album, qui fait la liaison entre la scène rap dont il vient et ce terrain florissant où il va.
Puis arrive son opus 10 titres qui emprunte des traits à la pop, à l’électro, au rock et à la chanson française. Entièrement produit par le compositeur pop beLOey, l’album signe la rencontre entre ces deux «garçons étranges». Ici les échecs de la vie sont rendus beaux, oniriques, et se soignent dans une certaine douceur. Telle une lueur d’espoir émergeant de la noirceur.
« Merder en beauté» est un album fait par des hommes cherchant l’inspiration dans la féminité et s’adressant souvent au public féminin dans des chansons rap qui sonnent comme des sérénades. »
Au sein d’une musique souvent qualifiée de machiste, Cutter invite la chanteuse Folydouce comme seul featuring. Un passe-passe entre pop et rap sur une instru aux accents rock et trip-hop. Une chanson entêtante aux textes puissants et au refrain efficace, qui donne envie de chantonner tout l’été. Petite sœur des princesses Disney en burn-out, autant influencée par les paillettes de Katy Perry que les voix torturées de Barbara ou d’Edith Piaf, Folydouce parsème ses morceaux d’improvisations clarinette free jazz, l’instrument de son enfance, et s’inspire de ses errances, nocturnes et sentimentales.
Apple, représentée par sa petite pomme à partie manquante est devenue en quelques années la marque la plus prisée du monde. Connue sous le nom d’Apple, sous la direction principale de Steeve Jobs le fondateur, la marque est vite devenue célèbre pour ses innombrables innovations. Après l’Iphone 11, la grande firme se lance avec les fameuses lunettes connectées, baptisées « Apple Glass » par les internautes.
Apple ne faisait pas référence à un smartphone lors de sa première création. L’appellation était attribuée au premier ordinateur individuel de la marque en 1976. Quelques années plus tard est présenté au monde Macintosh, l’ordinateur familial par excellence. Avec l’entrée vers une ère novatrice qu’est l’année 2000, Apple appui sa notoriété avec Ipod : le lecteur de musique, MacBook : le nouvel ordinateur portable et l’iPhone qui deviendra rapidement la coqueluche de la marque. Les appareils tactiles sont peaufinés pour donner la tablette tactile iPad sortie en 2010.
En 40 ans de notoriété inaltérable, Apple est surtout connue à travers l’iPhone, le smartphone de référence par excellence. Avec un téléphone de 3,5 pouces seulement, la marque frappe le monde avec l’iPhone 4. En passant de 2G à la 5G, Apple conforte une innovation plus prononcée. Outre les appareils, Apple met à la disposition des utilisateurs aussi des logiciels divers à utilisations spécifiques. Ainsi en 2001 apparait le système d’exploitation macOS pour MacBook et Macintosh. Pour les séries iPhone, iOS est développé depuis juin 2007. Presque la totalité des machines sont dotées d’applications et logiciels développés au sein même de l’entreprise.
Apple Glass : Pour une nouvelle vision du monde
Des « Glass » signées Apple valent de l’or. Et quand la pomme sort un nouveau gadget, les distributeurs officiels sont vite pris d’assaut. L’Apple Glass est une nouvelle innovation fraichement sortie de la marque. Les lunettes connectées ont déjà connu le jour en 2013 mais en ces temps produit par le géant Google et connues sous le nom de Google Glass. La version Apple est prévue pour une sortie prochaine avec l’iPhone 12. Cette appellation est un calque un peu gauche car jusqu’ici la marque n’a pas actualisé un nom officiel.
Mais la question principale c’est : quelles fonctions pour ces fameuses « Apple Glass » ? Si le produit n’est pas officiellement mis sur le marché, des prototypes circulent déjà pour tester les fonctionnalités de ces lunettes connectées. Comme n’importe quels accessoires Apple, les lunettes ne peuvent être utilisées sans un iPhone. Et c’est ce type de détail qui fait la différence avec les autres marques. Les données seront généralement traitées sur le téléphone comme c’est le cas quand on utilise l’Apple Watch.
L’Apple Glass est apparentée à la morphologie basique des lunettes classiques. D’une forme plus moderne, la marque de la pomme est estampillée sur la partie extérieure d’une des branches. La grande fonctionnalité de l’Apple Glass réside dans les verres. D’après le peu d’informations connues jusqu’à aujourd’hui, l’Apple Glass est doté d’un scanner LiDAR pour la mesure des distances, d’un système QR codes propriétaires ainsi que d’une Starboard pour les contrôles avec les gestes. Son prix sur le marché est estimé à 499 dollars à partir de 2022.
En 2013, Google avance des prototypes des fameuses « Google Glass ». Réalisant le rêve des technophiles, Google propose des lunettes avec des fonctionnalités avancées. Dépassant la marge de la banalité, les Google Glass offrent ainsi la possibilité d’effectuer des vidéos, de les enregistrer, le son compris. Et cela peut s’effectuer de manière automatique. Cette promesse alléchante affiche un prix de 1500 dollars pour posséder les lunettes. Si cela relève de l’exploit surtout en 2013, les lunettes connectées se heurtent rapidement à divers problèmes.
C’est surtout la réalité sociale qui constitue un barrage pour la mise sur le marché de Google Glass. Le respect de la vie privée demeure le principal souci selon les autorités de la protection des données. Outre cela, les lunettes sont aussi jugées dangereuses car pouvant gêner la concentration lors de la conduite. Quant à la population, les sondages sont dissuasifs car beaucoup trouvent que le produit n’est pas tout simplement intéressant. D’autres avancent des arguments légers comme : « ils ne veulent tout simplement pas en posséder ». « Google Glass » aura alors eu le temps de se faire connaitre mais pas d’être communément approuvé.
Né à Jérusalem et résidant actuellement à Los Angeles, Saint Levant est le fils d’une mère franco-algérienne et d’un père palestinien-serbe. Élevé entre Gaza et Amman en tant qu’enfant de la diaspora palestinienne, son nouveau single « Nails » est un titre électro sur lequel l’anglais, l’arabe et le français s’entremêlent. « Nails’ raconte l’histoire triomphante de Saint Levant face à ses détracteurs. Le clip vidéo haut en couleurs suit Saint Levant et Mia Khalifa. Selon le New-York Times, Saint Levant a : « Une voix rauque et soyeuse »
En mars 2023, Saint Levant a sorti son premier EP From Gaza, With Love, en indé sur son propre label, 2048. Le projet comprend notamment le hit viral « Very Few Friends », une chanson d’amour effrontée et lyrique dans laquelle « lover boy Levant » pose son flow, en français, arabe et anglais, sur une guitare jazzy et des percussions profondes. La nouvelle idole de la génération Z s’inspire du R&B du début des années 2000, de la musique trap arabe et du rap franco-arabe alors qu’il invite les auditeurs du monde entier à embrasser la culture du Moyen-Orient.
Ecouter et regarder « Nails » de Saint Levant :
Si vous avez aimé le titre « Nails » de Saint Levant, dites-le-nous dans les commentaires !
Danoise aux origines zambiennes, Kwamie Liv, nous propose un univers musical singulier. Un regard félin, des cheveux de jais qui tombent sur ses kimonos en soie, Kwamie Liv ressemble à une princesse dotée de pouvoirs magiques ensorcelants.
L’artiste montre une certaine ferveur pour les balades mélancoliques. Des beats lents,planants dominent et apportent ce côté lazy assumé. Ce savant mélange s’articule et s’entremêle pour former un univers où la Pop, Soul, R’n’b s’allient. Sa voix suave, écorchée, chaleureuse nous enivre et nous raconte des histoires où l’on se sent définitivement acteur.
Lost in a girl marque le premier EP de l’artiste. C’est un concentré de sensualité, de Girl power de fraîcheur.
Toujours très smooth, la chanteuse nous porte dans un vent doux loin de la représentation et de la provocation. Elle cultive une grande part de mystère, sa discrétion est attrayante. Cette réserve est émouvante, sa voix est proche de nous on est très vite séduit. Elle n’a pas besoin de jouer, elle est elle, Kwamie Live, et c’est appréciable.
Follow you nous embraque dans une atmosphère lourde plus sombre, on se laisse entraîner par le follow you de Kwamie.
5AM dévoile un exquis spleen, une sensibilité à fleur de peau, ce morceau nous rappelle les fins de soirées où la méditation prend place. Kwamie Liv arrive toujours à nous envoûter et à transmettre des émotions fortes. Une fleur rare qui n’a pas fini de nous enivré… Aux côtés D’Angel Haze, rappeuse américaine, “Pleasure This Pain“ annonce une nouvelle couleur à sa palette musicale.
Ce duo fonctionne à merveille, la voix de Kwamie Liv chaude, nous réconforte, s’envolant dans les aigus. Angel Haze, elle, affirme des tonalités plus violentes plus rudes. C’est un métissage assez beau, on reconnaît la touche vocale très personnelle de Kwamie Liv qui se mèle au rap de Angel Haze.
Elles construisent cette fine frontière entre fragilité, chaleur, brutalité, ardeur.
Hypnotisée par les photographies du réalisateur américain David Drake, je devais exprimer ma ferveur pour son oeuvre. L’ensemble du travail du photographe est sublime.
David Drake démontre une incroyable sensibilité pour exprimer l’idée même de l’instant. La définition de la recherche d’un esthétisme, d’une beauté exaltée, de l’imagerie fantasmée par l’artiste et ou par le public est bien là. Il photographie des milieux très différents qui invitent à la méditation et à la fascination.
Des néons roses pour capter l’instant
Des lieux où sont posés ces Pink Spolights, rayonnant dans l’espace : ”This must be a dream”, ”A change of heart”, ”Paris”, ”Love me”,”somebody Else”, ”If I believe you”, ”She lays down”, ”The ballad of Me and my brain”, ”Lost my head“, ”She’s american”, ”Love me, ”Somebody Else”, ”The sound, Ugh!”, ”She law down”… Des Slogans à neon brut, évocateurs de voix interieures et exterieures nous ramenant à notre vison singulière du monde et à celle qui nous renvoie à nous mêmes.
Interpeller le public avec des messages
Des mots, des phrases énoncés sur un bord de plage, un coin de rue, devant un immeuble, dans une chambre, un hôpital, sous un pont, devant l’autel d’une église… Des lieux choisis qui se ressemblent tant le silence est de mise: dépouillés de son humanité. Ces photographies nous dévoilent des couleurs douces des tons de rose, des bleus froids et apaisants, des couleurs suggérant la nostalgie… parfois provocatrices et criardes… ”Lost my Head“ illustre parfaitement l’idée que l’espace dans lesquel est ancré ”Lost my Head“ est en adéquation avec celui-ci.
Nous nous trouvons sur le toit d’un immeuble surplombant la ville, perdus. Perdus dans nos pensées, perdus dans l’espace, libres d’exister. Lidée “du non-lieu“ est complètement présente, nous sommes confrontés à la fois à un espace familier et en même temps nouveau, étranger.
Cette sensation est le résultat de l’addition de l’écriture. Entre l’aveuglante agressivité du néon qui renvoie à une autre réalité, et la couleur choisie “rose“ apaisante, réconfortante.
C’est peut être pour cela qu’on ressent un certain malaise? Est-ce la définition de l’ambiguité entre deux mondes parallèles qu’on ne peut atteindre? Ou est-ce le fantasme d’un lieu qui nous ressemble? Ou une voix qui plane au dessus de nos têtes? Ces paroles flottant dans l’air renforcent la puissance du lieu choisi par l’artiste. Nous sommes enracinés dans ce non-lieu qui nous rappelle des endroits déjà apprivoisés familiers simultanément insaisissables.
Jonchant le marché des appareils high-tech, Apple s’adonne aussi à des services encore plus indispensables dont l’Apple Card. Signée pomme dorée, la carte bancaire est complètement réinventée par la firme de Cupertino. Pour les propriétaires d’iPhone, les données restent confidentielles et scellées dans les appareils. Ce petit bijou du secteur de la fintech offre ainsi la possibilité d’accéder à de nombreuses fonctionnalités pour effectuer des achats et transférer des fonds en toute sécurité.
Le design au cœur de chaque innovation de la marque Apple
En ce qui concerne la carte physique proprement dite, Apple s’est lancée vers un design très épuré. D’ailleurs c’est une petite note toujours attribuée à la grande firme. Voulant faire la différence avec les autres banques, l’Apple Card affiche une couleur très neutre : le blanc. Un blanc très limpide qui laisse penser à un style très pur. Les dimensions ressemblent à toutes les autres cartes bancaires avec le petit outil d’identification obligatoire.
Avec un aspect assez minimaliste, Apple cloue la qualité de la carte car elle est entièrement conçue en Titane. La face supérieure présente le logo de la marque : un traçage discret, parfait mais très visible surtout lorsque la carte est en mouvement. En dessous se trouve le nom de l’utilisateur. Hormis la marque et le nom de la personne, la carte reste vierge sur le reste : aucun numéro ni cryptogramme visibles.
Quelles sont les fonctionnalités de l’Apple Card ?
Apple Card peut être assimilée à n’importe quelle carte bancaire à la seule différence qu’elle est signée Apple. Cela sous-entend des fonctionnalités uniques mais aussi une obligation de posséder un iPhone 6, au minimum, étant donné la connexion établie avec un appareil. La carte est directement connectée à l’appli Wallet. Même en étant une nouvelle offre, Apple appuie toujours l’importance de la sécurité. D’où des achats via la carte sont impossibles sans authentification par Face ID ou Touch ID. Et cela en assurant aux utilisateurs que leurs données personnelles ne seront jamais stockées sur les serveurs.
Le service est accessible tous les jours à n’importe quelle heure. La particularité d’Apple Card c’est la proposition de Cash Back. C’est un programme connu sous le nom de Daily Cash. Ce programme de récompense rembourse à un pourcentage variable vos achats selon les enseignes et l’utilisation d’Apple Pay ou directement la carte physique.
À qui s’adresse ce nouveau service ?
Loin d’être une analyse de markéting approfondie, les premières personnes à qui la carte est adressée sont surtout les utilisateurs d’au moins d’une iPhone 6. Les autres séries d’iPhone ne sont pas prises en compte. Sans possession de l’appareil, impossible d’en jouir car la carte est directement reliée à Wallet, une application d’iPhone. Il est possible de posséder à la fois la carte physique et la carte virtuelle. La dernière étant plus pratique pour des achats en ligne ou à distance.
Selon cette perspective, Apple s’adresse ainsi à des cibles aux emplois du temps chargés. La firme veut aussi titiller la curiosité des personnes soucieuses de la gestion de leur budget. Ainsi, Apple met l’accent sur une des fonctionnalités de la carte permettent de gérer de façon intelligente son portefeuille. La personne pourra classer son budget en fonction de ses dépenses. Celles-ci catégorisées en fonction des lieux visités ou des types de produits achetés.
Apple s’associe avec des partenaires financiers de renoms
Pour ce nouveau produit, Apple a conclu un partenariat avec MasterCard et Goldman Sachs. Les deux travaillent en interdépendance. MasterCard est en charge de fournir le réseau mondial de paiement et Golden Sachs s’est chargée de la création de la carte de crédit. La carte, sous la créativité de Sachs, est directement associé à Marcus –banque de détails de Sachs- via un compte bancaire.
Le partenariat vise surtout à trouver un bon terrain d’attente surtout pour Sachs. En effet l’association avec Apple peut susciter l’intérêt d’autres partenariats possibles. Toutefois, même si Sachs est le créateur de la carte, la firme de tech américaine insiste sur son slogan : « Une nouvelle sorte de carte de crédit. Créée par Apple, pas par une banque ». Ce qui lui vaut avant tout un honneur de notoriété sans oublier quand même le design très réussi.
La sortie de l’Apple Card en France est-elle envisageable ?
Jusqu’ici, en ce qui concerne Apple directement, une sortie en Europe n’est pas encore prévue. Cela inclue de ce fait la France. Le déploiement est encore non envisageable. D’une certaine manière, Apple mise d’abord sur le tâtonnement et ne veut se focaliser d’abord que sur son marché actuel pour l’Apple Card. On n’exclue pas toutefois des partenariats avec des banques françaises à condition d’en trouver une qui soit très agile.
Selon les dires de Tim Cook lorsqu’il s’est adressé à Echos : « […] Le monde n’a pas besoin d’une nouvelle carte de crédit. Il a besoin que l’on repense la carte de crédit. » Le CEO de Sachs, quant à lui, laisse aussi entendre une ouverture internationale. Selon lui, on ne peut jamais exclure les opportunités internationales représentant des atouts autant pour les investisseurs que les clients cibles.
Apple Card vs Google Card ?
Depuis des années, Apple et Google se livrent à une sorte de bataille silencieuse. Un fait qui laisse de marbre les experts en la matière. Mais ce qui est étonnant c’est que les deux firmes se livrent à des combats d’innovations souvent pareilles. C’est tout de même sans surprise que l’on a su que Google se lance dans un nouveau projet de carte bancaire, quelques mois seulement après la sortie d’Apple Card.
D’ailleurs, Google n’a rien contesté et confirme les faits. Elle veut s’associer à Citigroup, une banque américaine, selon un communiqué officiel. La Google Card fonctionnera ainsi comme n’importe quelle carte bancaire mais en étant dotée de diverses fonctionnalités et néo banques. En ce qui concerne l’utilisation et le stockage des données personnelles des clients, Google n’a pas encore donné des informations précises.
Connaissez-vous Kamielle Dalati Vachon ? Peut-être la connaissez-vous sous le pseudonyme Kamimaji alors. C’est une jeune photographe talentueuse pleine de vie et d’imagination. C’est surtout une grande rêveuse, passionnée et amoureuse inconditionnelle de l’art.
Kamielle Dalati Vachon est une jeune femme de 22 ans, fière de ses origines métissées : égyptiennes et québéquoise. Résidant à Montréal, Kamielle fait des études cinématographiques à l’Université de Montréal. Ses plus grandes passions étant la photographie et le cinéma, il est tout à fait naturel pour elle oriente ses études en ce sens. Elle aspire à faire une maîtrise en recherche et création mais pour le moment, il s’agit encore d’un projet : à faire mûrir. La raison ? Cette jeune femme voudrait faire tellement de choses qu’elle a du mal à se décider…
Pleinement consciente que la photographie rythme sa vie
Ses premiers pas dans la photographie sont assez récents. En effet, elle s’est lancée dans cet art il y a tout juste trois ans. Au départ, ce n’était qu’une envie puis peu à peu cela se transforme en véritable passion.
La première fois qu’elle essaie à la photographie, Kamielle utilise une caméra Canon Rebel. Par la suite, elle passe au numérique et utilise une caméra Canon Rebel T2i. Elle apprécie beaucoup cette caméra car s’en sert principalement pour réaliser des photos d’évènements ou encore pour faire des shootings créatifs.
Plus récemment en janvier 2016, la jeune artiste découvre la photographie argentique, une technique de photographie très intéressante et de plus en plus à la mode ces dernières années. Elle fait naturellement l’acquisition d’une caméra argentique Canon à moteur EoS 3000 ainsi qu’une Pentax. Et commence à faire ses premiers clichés car ces caméras sont très faciles à utiliser et permettent d’obtenir des photos magnifiques.
Des rencontres déterminantes dans sa vie de photographe
Le parcours artistique de Kamielle Dalati s’est fait progressivement et ne comporte pas vraiment une date clé mais un nom, celui de Samuel Gagnon, un artiste/producteur de musique et label manager de D.M.T. Records :
« Son projet personnel portait le nom Der Denker et aujourd’hui, il construit son nouveau projet Sum Spirae en venant me chercher par ses sons et sa vision unique dans laquelle je me reconnais intensément, il m’a fait adhérer à son projet en me demandant de réagir par la photographie à sa musique. C’est un travail créatif sans égal qui m’anime et me construit chaque jours. »
Grâce aux gens qu’elle rencontre dans la scène underground montréalaise, elle a acquis une certaine expérience artistique de la photographie. Et grâce à ces expériences, elle réussit à capter les émotions et à les immortaliser dans ses photos pour les partager avec son public.
La jeune femme aux multiples facettes reste toujours à la recherche de nouvelles inspirations à insuffler dans ses photographies. Des projets comme Saturated Visions in Ivuyivik ou Contemplation contemporaine sont des exemples de projets personnels animés par tout l’univers dark minimal techno que lui transmet Samuel et toute l’énergie de son label ainsi que de tous les artistes qui en font partie. Elle définit le ‘dark’ comme une porte vers l’intériorité de l’âme, aussi lumineuse que sombre.Un sentiment indescriptible et extrêmement puissant, comme une façon de se comporter.
« C’est une confiance en soi, quelque chose qui me permet de foncer et de croire en ce que je fais, de croire en un art de la réaction, expression artistique, à l’Art lui-même. »
Aussi François Sibold, rencontré au mois de février 2016, un érudit de la photographie argentique lui propose un projet sur ces expérimentations capillaires (c.f. le portrait de Kramielle pris avec de la pellicule 120 mm Ektar 100). cet artiste la connecte à l’argentique de manière plus professionnelle.
Une vie d’artiste
En se lançant dans la photo par simple envie devenue passion, les projets commencent lui être confiés comme des demandes pour couvrir des évènements réguliers… Kamielle professionnalise ses activités et continue de se former en s’inscrivant récemment dans le club du 3ème Œil dans lequel elle peut faire de la chambre noire.
À la vue de ses photos, on éprouve toutes sortes de sentiments. Kamielle arrive à attirer l’œil avec ses techniques de photographies bien à elle. Le meilleur moyen de se rendre compte du talent de cette artiste est de visionner ses travaux accessibles sur son profil Behance ou sur sa page Facebook. De cette manière, vous vous rendrez compte à quel point cette photographe a un vrai talent.
Découvrez 4 photographies de son travail sélectionnées et commentées par Kamielle Dalati Vachon
Photographie prise avec un Mamiya 645, film Fujicolor PRO800 expiré,120. Derrièrele port de Montréal, lieu cacophonique surplombé de cris mécaniques. J’entend la modernité poursuivre son incessante croissance. Elle ne s’arrête pas. Et pourtant jemelaisse emporter par une inquiétude étrange mêlée à un élan animal. J’observe les grincements et c’est comme si j’étais l’undes témoins de ce langage métallique indéchiffrable
Photographie prise avec un Mamiya 645, film Fujicolor expiré, 120. Impressionnée par la vitesse et les grandeurs. Partagée entre les instances sombres etle feu du jour. Tout ce qui existe chante à nos yeux. Un sens naît dans l’ombre. Je suis un corps qui se déplace, mon sang bouillonne. Je reste à l’écoute de sa chaleur qui circule.
Ces moments où l’on se sent enveloppé dans la douceur du sens
Photographie prise avec Pentax, film Fuji Reala expiré, 35mm.Parfois, notre esprit est témoin de choses quile marqueront. Sans savoir, le chemin se poursuit, guidé pardes événements à l’aura enveloppante. Le coeur est les yeux s’envolent dans lecreux des entrailles etils vibrent dans le vacarme du bonheur. Regarder son reflet dans les yeux et contempler la force imprévisible et mystique qui nous habite.
Photographie prise avec un Mamiya 645, film Fujicolor expiré, 120. Trop souvent coincée quand pourtant les portes sont à portée sincère. Les murs sont érigés etnourris dans le nid du flux cérébral. Il vaut mieux parfois s’engorger dans les profondeur delapeur pour sentir avec conviction le cadenas dissipé. Je me surprend à rêver d’un réelqui prend son envol. Nous sommes des chenilles cristalliséesaux mystères insoupçonnés. La double exposition permet la cohabitation de deux espaces temps distincts, proches oulointain. Celles que jeprésente ici sont faite in camera avec la caméra moyen format Mamiya 645. Superposer des images au travers de cette pratique analogue me fait permet d’exprimer de manièrepoétique certains sens dema pensée,des sentiments qui s’expriment en moi sans être nécessairement clair. C’est une poésie visuelle enclenchant ainsi une somme inépuisable de sens et d’émotion. Les possibilités se démultiplient et m’inspirent énormément à poursuivre mon élan au travers de cette technique qui m’anime.
Depuis bientôt 15 ans, Pascal Arbez-Nicolas aka Vitalic s’est évertué à redéfinir la notion d’électro, imposant son style inimitable, mélangeant techno, disco, rock et pop.
Connu et reconnu à travers le monde grâce à ses titres incontournables comme Poney, La Rock 01 ou encore My Friend Dario et You Prefer Coacaïne Vitalic a su bousculer les codes et réveiller une scène electro française en léthargie depuis la fin des jours heureux de la french touch.
Vitalic emmène l’électro vers de nouveaux horizons
Signé dès ses début par DJ Hell sur son label Gigolo records, cultivant son originalité et ses préservant son style et sa vision musicale, Vitalic a su apporter à l’électronique française une nouvelle direction. Une électronique qu’il a sorti des pistes de danse, pour lesquels ses morceaux sont conçus à la base, pour la confronter au dur exercice du live électronique. Un pari technologique révolutionnaire, auquel des artistes comme Daft Punk, Justice, Etienne de Crecy, et biensûr Vitalic ont apportés ses lettres de noblesse. Ses productions qui mêlent énergie pure, synthés en cavalcade et mélodies imparables font de Vitalic un artiste unique.
Depuis son premier album Ok Cowboys en 2005 ou son électro galopante côtoyait des fanfares, des guitares électriques branchées sur du 100 000 volts ou des pop song lentes et mélancoliques comme à filer les larmes aux yeux, Vitalic s’est efforcé à chaque album de se réinventer, poussant sa conception et sa vision du disco dans leurs retranchements. Car la force du producteur réside certainement dans cette manière de se renouveler à chaque fois, d’explorer sous toutes ses facettes, comme celles d’une boule disco, toutes les possibilités de ce qu’il nomme la metal-disco, ou plus prosaïquement la « disco-poilue ».
Voyager : l’odyssée cosmique de Vitalic
Pour Voyager, son quatrième album studio, qui lui a pris 2 ans à composer et qu’il considère comme son album le plus dico à ce jour, le producteur dijonnais se souvient avoir d’abord désiré composer un disque quasiment pas dansant, inspiré par la musique des années 70’s. Mais l’idée de départ a rapidement évoluée : « j’ai changé d’avis en cours et j’ai rajouté des beats » souligne le compositeur.
Voyager est ainsi un disque qui se souvient de tout l’héritage de la disco cosmique des années 80. Une musique dominée par les synthétiseurs, profondément énergique et orgasmique, dont les influences sont à chercher chez les pionniers du genre comme Cerrone, Moroder, Patrick Cowley, Lime, Spacer, Carpenter ou Gino Soccio.
Ainsi le nom et la pochette sublimement rétro-futuriste de son dernier LP Voyager annonncent parfaitement la couleur et la direction prise par Vitalic, celle d’une odyssée spatiale et cosmique, d’un concentré rétro-futuriste de tubes énergiques parfaits pour danser en apesanteur, et de pauses mélancoliques conçues pour rêver en regardant les galaxies perdues dans l’immensité du cosmos. El Viaje, le morceau qui ouvre l’album, avec sa ritournelle électronique aux saveurs latines, fait ainsi figure de rampe de lancement idéale pour cette expédition cosmique ou les synthétiseurs analogiques (comme les rarissimes synthés Buchla) ont pris les commandes et font désormais la loi. Un voyage en apesanteur, qui joue au roller coaster avec nos émotions, de Waiting For The Stars, premier single en duo avec David Shaw, tube irrésistible de disco-pop ponctué de gimmicks 70’s à la Funky Town de Lipps Inc à Levitation turbine ponctuée de hurlements de foule, comme seul Vitalic en a le secret en passant par Eternity morceau en suspension, sorte d’opéra synthétique, croisement contemporain entre entre Wim Mertens et Klaus Nomi. Mais sur Voyager ou on peut aussi croiser Lightspeed, véritable bombe pour dancefloor ponctuée de riffs de synthés outrageusement funky, rester fasciné devant Sweet Cigarette, morceau sombre et rock où plane le fantôme du Warm Leatherette de The Normal ou Hans Is Driving comptine électronique où Miss Kittin perdue dans le cosmos discute du sens de la vie avec une intelligence artificielle, avant de fondre de mélancolie avec Don’t Leave me Now reprise ambient et solaire de Supertramp.
Conçu comme un voyage cosmique au plus profond de la dance music, Voyager réunit parfaitement les trois éléments qui ont toujours fait la force de Vitalic : un brin de folie expérimentale, des mélodies imparables et de l’énergie à revendre. Une recette magique qui fait de cet opus le disque idéal à écouter les pieds sur le dancefloor et la tête dans les étoiles…
Ou le contraire… À découvrir le 20 janvier prochain.
Tracklist :
01. El Viaje 02. Waiting For The Stars feat. David Shaw 03. Levitation 04. Hans Is Driving feat. Miss Kittin 05. Use It Or Loose It feat. Mark Kerr 06. Lightspeed 07. Eternity 08. Nozomi 09. Sweet Cigarette 10. Don’t Leave Me Now
La mise en terrasse – des marches de niveau sur un terrain en pente – est une technique utilisée depuis l’Antiquité par les agriculteurs du monde entier pour cultiver des plantations et des jardins. Pensez aux jardins suspendus de Babylone ou aux magnifiques rizières en terrasses d’Asie.
Les terrasses font partie des excellents outils des paysagistes dans les pays escarpés et vallonnés. Si votre propriété est inclinée autant ou plus qu’elle est à niveau, vous pouvez envisager de faire du jardinage en terrasse dans votre jardin.
Dans le cadre des bonnes pratiques de conservation de l’arrière-cour, les terrasses peuvent jouer un rôle dans la préservation de l’écran et la conservation de l’eau. Elles vous permettent non seulement de récupérer de l’espace depuis la colline pour y planter des légumes, des fleurs ou des arbustes – les terrasses peuvent être très décoratives – elles constituent également une excellente haie contre le ruissellement des eaux et l’érosion des sols.
Ils peuvent également créer des microclimats plus chauds et plus ensoleillés pour la culture de plantes et de légumes qui aiment la lumière et la chaleur. Maintenant – en plein hiver – est le moment idéal de l’année pour commencer à visualiser votre flanc de colline vivant avec des tomates, des vignes rampantes et des peuplements de belles fleurs.
Avec le matériel de jardinage de plus en plus important, la nourriture biologique est facile ! Planet Natural a tout ce dont vous avez besoin pour commencer : semences anciennes, sols et engrais. Besoin d’un conseil ? Visitez notre blog sur les potagers pour connaître les idées, le savoir-faire et l’expérience pratique dont vous avez besoin pour bien faire le travail.
Voici un site propice à la créativité : un dessin assez détaillé d’un jardin à flanc de colline – avec un bac à compost ! – sur un blog de jardinage avec un nom plutôt risqué. Remarquez comment des fonctionnalités telles qu’un hangar de stockage, un cadre froid, même des marches et des bancs sont incorporés. Même si ce jardinier a été aidé par un paysagiste professionnel, vous pouvez voir qu’une grande partie de la conception – et du travail – peut être réalisée de manière raisonnable. Personne maniable, énergique et qualifiée.
Voici des instructions pas à pas pour vous assurer qu’il n’y a pas de câbles enterrés sur la colline que vous allez creuser, pour terrasser une cour en pente. Voici un autre document du Centre de conservation des ressources naturelles qui traite de différents matériaux – bois, pierre – à utiliser pour les murs et les mesures à prendre pour éviter que des sols lourds, saturés d’eau, ne s’effondrent (le drainage est important). Il est également question ici de planifier la montée et le (descente) de votre pente.
En d’autres termes, quelle doit être la profondeur et la hauteur de vos terrasses ? Vous devrez également tenir compte des contours de votre colline, ce qui peut nécessiter un niveau, des enjeux et une ligne, voire les services d’un géomètre, pour vous assurer que les contours le sont bien. Les jardiniers dont les terres sont pour la plupart plates peuvent encore utiliser la pratique du contour pour conserver l’humidité dans leur paysage.
Ne vous sentez pas obligé de convertir tout votre jardin en une saison. Nous connaissons un jardinier – l’ami proverbial d’un ami – qui ne visite qu’une ou deux fois par an. Chaque fois qu’il visite, nous obtenons un journal photo de ses progrès. Il admet avoir fait ses terrasses à l’envers, de haut en bas. Mais cela lui a permis de les établir de temps en temps. De quelques espaces étroits aux murs de pierre où il cultivait de la laitue et des soucis, à une colline remplie d’espaces en croissance abritant une abondance de légumes et de fleurs, c’était génial de voir ses progrès et de l’entendre chanter.
Ses voisins de Missoula, dans le Montana, reçoivent quelques tomates, bien sûr. Mais sa pente exposée au sud, avec ses brise-vent intégrés et sa circulation d’air naturelle qui lui permet de résister aux premières gelées (si elle n’est pas trop lourde) lui donne une récolte exceptionnelle.
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